
Cet index permet aux entreprises concernées d’évaluer sur 100 points le niveau d’égalité entre les femmes et les hommes.
Seule l’Union Française pour le Sauvetage de l’Enfance (UFSE), avec plus de 50 salariés, est concernée.
Pour les entreprises de moins de 250 salariés : 4 indicateurs considérés.
Tous les index sont calculés sur la base des revenus 2024, reconstitués en temps plein sur 12 mois.
1. L'écart de rémunération ( Note : 34/40)
Un écart de rémunération est constaté en faveur des femmes.
Moyenne de la rémunération des femmes comparée à celle des hommes, par tranche d’âge et par catégorie de postes équivalents
- 4 CSP retenues : ouvriers, employés (dont AF), techniciens et agents de maîtrise, ingénieurs et cadres
2. L'écart de taux d’augmentations individuelles (Note: 35/35)
Un écart de taux d’augmentation est constaté en faveur des hommes. Puisqu’il s’agit du sexe le moins bien rémunéré, le nombre de points maximum est attribué.
Seules les PROMOTIONS ont été retenues comme augmentations individuelles (pas les changements d’échelon en raison de l’ancienneté dans le poste ou d’un nouveau diplôme obtenu
3. Augmentations liées aux congés maternité : (Incalculable)
Pas de salariés augmentés pendant les congés maternité.
Prise en compte des salariées revenues de congé maternité (ou de congé d’adoption) pendant la période de référence. Depuis la loi de 2006, elles doivent bénéficier d’une augmentation s’il y en a eu pour d’autres salariés durant leur congé maternité. Cette augmentation doit être effective avant la date de fin de période de référence.
4. La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations :
( Note : 5/10)
Les hommes sont sous-représentés parmi les salariés les mieux rémunérés.
En cohérence avec la proportion de femmes à l’UFSE (les femmes représentent 79% des effectifs retenus pour le calcul de l’index).

En conclusion, l’Association l’Union pour l’Enfance comptabilise un score total de 87/100.